LA PHYTO-ÉPURATION
La règlementation confère à l'assainissement individuel un rôle singulier dans un projet de construction à neuf ou de réhabilitation.
Contrairement à la démarche architectuale, au béton de chanvre, à la pierre massive et à la toiture végétalisée, il ne constitue en effet pas une option :
À cette solution, admise implicitement, s'est peu à peu imposée - en construction neuve - la voie de la fosse septique, en apparence plus propre (gestion contenue des évacuations) , mais aux résultats moins probants qu'espérés et - surtout - induisant des coûts d'entretien-maintenance voire de remplacement très largement sous-estimés.
Aujourd'hui une solution efficace, moins coûteuse en entretien-maintenance et en phase avec une démarche respectueuse de l'environnement existe, celle de la phyto-épuration.
Contrairement à la démarche architectuale, au béton de chanvre, à la pierre massive et à la toiture végétalisée, il ne constitue en effet pas une option :
- il est obligatoire quand le terrain recevant le projet n'est pourvu d'aucun système collectif d'assainissement
- il est illogique quand le terrain est déjà intégré à un système collectif (cas de la réhabilitation) ou que ce dernier est présent en limite de propriété.
À cette solution, admise implicitement, s'est peu à peu imposée - en construction neuve - la voie de la fosse septique, en apparence plus propre (gestion contenue des évacuations) , mais aux résultats moins probants qu'espérés et - surtout - induisant des coûts d'entretien-maintenance voire de remplacement très largement sous-estimés.
Aujourd'hui une solution efficace, moins coûteuse en entretien-maintenance et en phase avec une démarche respectueuse de l'environnement existe, celle de la phyto-épuration.






